Catégories
Activités Résumé du mois

Résumé des mois de janvier et février 2019

Durant les deux mois passés, la CUAE a participé à de nombreuses réunions et commissions. Nous avons suivie le CoPil du site des associations (en cours de construction) et du programme Horizon académique ainsi que la commission des bourses et des exonérations de taxe.

Nous avons également débuté les réunions d’organisation des Welcome Days 2019 et rencontré le service du mobilier afin de trouver des casiers pour les associations.

La CUAE à publié un article au sujet de loi sur la laïcité avant les votations pour tenter de faire prendre conscience des aspect islamophobes contenue dans celle-ci.

Le GT Genre et le Collectif Féministe pour les Personnes en Formation ont également publié un communiqué de Presse, largement relayé sur les réseaux sociaux, qui dénonce le manque d’actions concrètes et symboliquement fortes du rectorat quant aux questions féministes après que le recteur ait refusé une demande d’exemption généralisée d’examens pour le grève du 14 juin prochain.

 

La semaine de rentrée universitaire à été marqué par la projection de courts-métrages d’étudiantes en cinéma à la HEAD en collaboration avec F-information dans le cadre du ciné club féministe : les sœurs lumières.

Cette semaine de rentrée à également été marquée par la journée des associations qui en à réunie plus de vingt qui ont tenu des stands pour se présenter aux étudiant.e.x.s à UniMail et aux Bastions.

 

La CUAE est également partie durant un week-end pour son camp d’hiver. Elle en a profité pour travailler la rédaction du Regard Critique n°49 qui devrait sortir en mars.

 

Durant ces deux mois nous avons également co-organisé une conférence avec l’Atelier Histoire en Mouvement en abordant les solutions pour l’Afrique en compagnie de Saïd Bouamama et soutenu deux conférences internationalistes, une abordant la politique de Castro à Cuba et les luttes sociales des peuples en Colombie.

Catégories
Activités Féminisme

Réponse au rectorat et aux HES-SO quant à la demande d’exemption générale d’examens pour la grève féministe du 14 juin prochain.

Depuis quelques mois, plusieurs collectifs de personnes concernées par les thématiques de genre s’organisent en prévision de la grève générale féministe prévue le 14 juin 2019. A Genève, les personnes en formation se sont réunies au sein du « Collectif Féministe pour les Personnes en Formation» (CFPF). Ce collectif regroupe des étudiant-e-x-s de l’Université de Genève, des différentes hautes écoles genevoises (HETS-HEPIA-HEdS-HEAD) et associations et instituts privé de formation.

L’utilité de se regrouper entre personnes en formation s’est avérée indispensable car les problématiques de discriminations genrées se recoupent d’un lieu de formation à un autre. Nous travaillons depuis à les recenser afin d’avoir une liste de revendications communes à présenter, spécifiques aux personnes en formation.

Rapidement, la nécessité de demander une exemption d’examen généralisée à l’ensemble du canton s’est fait ressentir. Que ce soit dit : il ne s’agit pas ici de « demander la permission » de faire grève car nous la ferons de toute façon. Ce que nous contestons c’est l’utilisation du moyen de pression que sont les examens afin de nous empêcher de faire la grève. En effet, l’absence à un examen peut avoir de lourdes conséquences sur notre cursus de formation. Il s’agit donc d’obtenir la garantie que l’action légitime de réclamer l’égalité des droits n’ait aucune conséquence négative sur notre parcours de formation. Ainsi, les syndicats (SSP et SIT) ont adressé au rectorat de l’Unige et à la direction des HES-SO une demande formelle d’exemption générale d’examens le 13 novembre dernier. Nous avons été très surpris-e-x-s de recevoir une réponse défavorable à cette demande.

Au vu de cette réponse, nous avons jugé nécessaire de prendre position pour tenter d’expliquer ce qui nous dérange en engageant un débat public et transparent autour de ces questions. « Tout d’abord, explique une membre du CFPF, les personnes haut placé prenant ce type de décisions sont majoritairement des hommes qui n’ont jamais vécu de discriminations quant à leur genre. Nous leur reprochons de ne pas utiliser leur pouvoir afin de prendre une décision symboliquement forte qui ruissellerait sur les différentes hautes écoles et facultés universitaire. »

Ce refus de la part du recteur nous surprend d’autant plus que l’Université se doit d’être un lieu progressiste, où les questions d’intégration sociale et de genre devraient être une préoccupation réelle et ne pas seulement servir d’étendard public pour les rankings. Pourtant, la réponse du recteur Yves Flückiger est un magnifique exemple de pinkwashing. Une étudiante du GT Genre de la CUAE explique : « le recteur se déresponsabilise de toute prise de décision par rapport à la grève du 14 juin tout en revenant longuement sur les « mesures » pour l’égalité prises par l’Université de Genève. Mesures qui semblent plus tenir de la publicité et de l’image que d’une réelle volonté de questionner le système patriarcal. » Faut-il rappeler le manque flagrant de prise en compte et de mesures lors de violences sexistes, notamment lors du cas de harcèlement par un vice-recteur?

Ainsi, plutôt que de se pencher sur les solutions pouvant permettre la grève du 14 juin, le recteur préfère énumérer la liste de ses actions de communication, montrant ainsi à quel point la vie est rose dans les lieux de formation.

C’est pourquoi nous réitérons la demande d’exemption générale d’examens le 14 juin 2019 dans tous les lieux de formation. Il s’agira enfin d’une action concrète et forte manifestant une réelle compréhension des enjeux et la volonté de changer les choses.

Catégories
Activités Actualités Politique universitaire Textes

LA LOI SUR LA LAÏCITÉ, OU COMMENT RENDRE L’ÉDUCATION PLUS INACCESSIBLE

 

La CUAE, syndicat estudiantin, prend position concernant le référendum sur la loi sur la laïcité de l’Etat (LLE), objet des votations du 10 février prochain. Considérant que l’éducation doit être accessible à tou.te.x.s, il nous apparaissait nécessaire d’exposer les conséquences néfastes qu’aurait cette loi, notamment dans le cadre des lieux de formation.

 

Tout commence pendant l’été 2013, où un projet de loi voit le jour à l’initiative de Pierre Maudet alors en poste au Département de la Sécurité et de l’Economie (DES). Ce projet vise à préciser la notion de laïcité, principe fondateur de l’Etat. Il s’agit de légiférer sur la place du religieux dans la société actuelle, de « donner les moyens nécessaires au maintien de la liberté et de la paix religieuses à Genève »[1]. Dès son adoption par le Grand Conseil genevois en avril 2018[2], quatre référendums voient le jour à l’initiative de la « Coordination référendaire contre une loi sur la laïcité contraire aux droits fondamentaux » et sont soumis à la votation ce 10 février.

 

Que prévoit la loi sur la laïcité de l’Etat ?

 

La LLE permet au Conseil d’Etat de « restreindre ou interdire, sur le domaine public, dans les bâtiments publics, y compris les bâtiments scolaires et universitaires, pour une période limitée, le port de signes religieux ostentatoires » et ce, « afin de prévenir des troubles graves à l’ordre public » (art. 7 al.1 LLE).

 

Cet article, amendé en dernière séance sous l’influence des élu.e.s PLR, est ajouté « à des fins préventives » ; les situations dans lesquelles il serait appliqué demeurent floues[3]. Une chose est sûre, le Conseil d’Etat se réserve désormais le droit d’interdire l’accès au domaine public au motif du port de signes religieux. Il y a de quoi s’alerter quand on connaît les tendances islamophobes de certain.e.x.s décideureuses politiques. Quoiqu’il en soit, avec cette loi, la pratique de stigmatisation est rendue légale.

 

Un faux débat qui vient de loin

 

Genève n’est pas la première ville à connaître des débats autour de la laïcité. En France, suite à « l’affaire du foulard », une loi sur la laïcité est adoptée en 2004[4]. Elle prévoit l’interdiction du port du voile islamique en particulier dans les bâtiments scolaires. Les arguments pro-loi portent plus sur un argumentaire égalitariste que sur des enjeux de paix religieuse et de bien vivre ensemble. Le foulard est considéré comme LE symbole de l’inégalité entre femmes et hommes et doit, à ce titre, être interdit[5]. Ce sont des préoccupations dites « en faveur de l’égalité entre hommes et femmes » qui vont justifier l’adoption d’une loi sur la laïcité, démontrant ainsi l’instrumentalisation d’enjeux féministes au service de l’islamophobie, le tout sous couvert de débat sur la laïcité.

 

Dans le cas genevois, ce ne sont pas des considérations pseudo-égalitaristes qui sont derrière cette loi, mais bien une tendance sécuritaire. On peut alors raisonnablement se demander si le vrai but de cette loi ne serait pas de restreindre sur le domaine public « les risques » qui seraient incarnés par des personnes arborant certains signes religieux. Faire l’association entre port de certains signes religieux et risque à l’ordre public c’est sans fondement. Et par ailleurs, même si le foulard islamique en tant que tel n’est cité qu’en exemple, il constitue bien la raison des articles en question de cette loi. En France comme en Suisse, des arguments paternalistes et pseudo-égalitaires ainsi que sécuritaires restreignent la liberté de choix de certaine.x.s[6].

 

Quelles conséquences dans les lieux de formation ?

 

Le coût des études, des loyers, de la nourriture, des assurances-maladies conditionne déjà l’accès à l’éducation et aux formations post-secondaires. On voit mal quel besoin y a-t-il à rajouter une barrière à l’éducation en interdisant l’accès à l’université aux personnes arborant des signes religieux. On serait loin d’une université qui se revendique comme un espace ouvert, de circulation, de partage et de transmissions des savoirs.

Ce n’est pas seulement l’accès aux salles de classes qui est restreint mais également celui à des formations en emploi et à des formations professionnalisantes prévoyant des stages obligatoires (par exemple dans des institutions publiques comme des hôpitaux). C’est donc l’ensemble de nos formations qui est ainsi touché.

 

En bref, cette loi restreint l’accès à des services publics à un certain groupe de personnes : c’est ce que l’on appelle de la discrimination.

 

La votation du 10 février rappelle la nécessité de s’informer sur ces sujets auprès des personnes concernées, de soutenir les initiatives et les moyens de luttes comme ce référendum afin de mieux combattre les projets discriminatoires à l’image de cette loi et de condamner les déclarations et attitudes « décomplexées » qui, au nom de la liberté d’expression, ne font que faire perdurer la société islamophobe.

 

Nous témoignons notre soutien à toutes les personnes et collectifs qui se mobilisent contre cette loi et contre les politiques islamophobes et discriminatoires et continuerons à revendiquer une éducation accessible à tou.te.x.s !

 

 

Pour aller plus loin 

 

Zahra Ali, Féminismes islamiques, La Fabrique, 2012.

Mon cher hijab, https://lmsi.net/Mon-cher-Hijab

Lalaab, http://www.lallab.org/

Faites des Vagues

Un racisme à peine voilé

et bien d’autres….

 

Glossaire

 

Le trouble à l’ordre public 

La notion de « troubles (graves) à l’ordre public » renvoie à une situation dans laquelle l’Etat considère que la sécurité intérieure est ou peut être menacée. C’est une notion floue et imprévisible pour les personnes ne connaissant pas en détails la pratique juridique en la matière. Dans le cadre de la loi sur la laïcité, on imagine qu’à l’annonce de rassemblements ou d’évènements politiques ou culturels sur le domaine public (la rue, l’université, etc.), liés à des questions religieuses, le Conseil d’Etat pourrait décider d’interdire le port de signes religieux.

 

Le principe de laïcité

Le principe de laïcité consacre la neutralité religieuse de l’Etat. Autrement dit, l’Etat doit être indépendant des communautés religieuses et ne pas en favoriser certaines par rapport à d’autre. Les autorités étatiques et religieuses doivent être séparées.

 

 

[1] https://www.ge.ch/document/grand-conseil-adopte-loi-laicite-etat

[2] https://www.ge.ch/legislation/modrec/f/11764.html

[3] La notion de « signes religieux ostentatoires » n’est par exemple pas définie. Dans la presse, certain.e.x.s député.e.x.s (source) expliquent qu’il s’agirait des signes extérieurs « les plus visibles ». L’exemple qui ressort le plus souvent c’est le foulard islamique. De plus, la notion de signe religieux peut s’entendre d’une manière objective (l’objet ou le vêtement en lui-même constitue un signe religieux) mais aussi d’une manière subjective (l’objet fait référence, fait penser à un signe religieux ou peut être assimilé à une communauté religieuse). Tout dépend donc de l’interprétation qu’en auront les décideureuses politiques.

[4] http://www.lallab.org/4-raisons-pour-lesquelles-la-loi-de-2004-est-antifeministe/

[5] Christine Delphy, « Antisexisme ou antiracisme ? Un faux dilemme », in « Sexisme et racisme : le cas français », Nouvelles Questions Féministes, vol 25, n°1, 2006, pp.59-83.

[6] http://www.lallab.org/4-raisons-pour-lesquelles-la-loi-de-2004-est-antifeministe/

Comme Kharach le dit: « […] chacune devrait pouvoir choisir la manière dont elle s’habille et dont elle souhaite se présenter à autrui. Que ce soit un pantalon, une jupe, des cheveux bleus, ou un foulard, porter les vêtements de nos choix, c’est exercer sa liberté, s’affirmer et mettre en avant sa personnalité ; ce qu’on est. Retirer ce droit aux individus, c’est nier leur identité profonde et aller à l’encontre d’un fondement du combat féministe.»

 

Catégories
Activités Résumé du mois

Résumé du mois de décembre 2018

Résumé du mois de décembre 2018

 

Au cours du mois de décembre 2018 la CUAE a coorganisé une conférence et un atelier avec Iris Rivoire. Le sujet de ces derniers étaient la rhétorique philosophique et argumentative concernant l’« Ouverture du mariage pour tous les couples ». De nombreu.ses.x étudiant.e.x.s étaient présent.e.x.s.

 

La CUAE a tenu sa deuxième Assemblée des Déléguées du semestre, cela a été l’occasion d’aborder les sujets tels que la grève féministe de juin 2019, le référendum sur la loi sur la laïcité de l’État, les évènements interassociatifs pour le semestre à venir, la plateforme numérique pour associations et la prochaine rencontre entre le rectorat et les associations. De nombreuses associations étaient présentes.

 

La CUAE a apporté son soutien aux luttes sociales et étudiantes en Colombie, une intervention a eu lieu lors d’une conférence et une banderole a été déployée à UniMail le 13 décembre en soutien de la mobilisation nationale en Colombie et aux grèves demandant une éducation accessible à tout.e.x.s.

 

La CUAE s’est rendue à de nombreuses réunions lors du mois de décembre. Avec la Datcha tout d’abord afin de discuter de leur fonctionnement interne. Ensuite avec le rectorat et le service des bâtiments afin de faire suivre les nombreuses demandes étudiantes portant sur les espaces à l’Unige. Finalement deux réunions ont eu lieu afin de mettre en place la nouvelle plateforme numérique pour les associations estudiantines.

 

Finalement, la Commission de nomination a achevé son travail et a nommé Pauline Emery au poste de secrétaire permanente à partir du 1er février 2019.

Catégories
Activités Actualités Résumé du mois

Résumé du mois de novembre 2018

Au cours du mois de novembre le comité de la CUAE a rencontré des membres du rectorat et de l’administration de l’université à plusieurs reprises. Tout d’abord avec le service de la logistique des bâtiments universitaires, il y a été question de la réservation des salles, du mobilier pour associations et des espaces de stockage pour associations. Ensuite une réunion a eu lieu avec la vice-rectrice Micheline Louis-Courvoisier afin d’organiser la prochaine rencontre associations-rectorat, divers projets institutionnels vont se concrétiser ces prochains mois, cette rencontre a donc dû être déplacée au début du semestre de printemps. Finalement une rencontre avec le comité de pilotage de la réforme de la cgtf a eu lieu afin de mettre en place la future plateforme numérique pour les associations.

La CUAE a été active dans l’organisation de la grève féministe de juin 2019, plusieurs réunions ont eu lieu avec des associations et étudiantes des hautes écoles genevoises.

Une rencontre entre le Nadir et la librairie du boulevard a été tenue afin de donner une suite aux attaques fascistes dont ces trois entités ont été la cible.

Le Groupe de travail espaces de la CUAE, réunissant des étudiantes, l’AEEA, l’AED, l’AESPRI, l’AEL et l’ESN a organisé le 27 novembre une grande journée pour revendiquer des espaces conviviaux et non-marchands à l’unige. Des canapés ont été installés pour l’occasion dans le hall d’UniMail et un repas populaire préparé à midi. De nombreuses étudiantes ont pu profiter de cet espace et échanger sur cette thématique.

Finalement une conférence a été organisée le 30 novembre en collaboration avec l’Atelier Histoire en Mouvement. La thématique de cette dernière était la grève générale de 1918 en Suisse et la répression bourgeoise qui l’a suivie.

Catégories
Activités Non classé Résumé du mois

Résumé du mois d’octobre 2018

Durant le mois d’octobre, la CUAE a organisé sa première Assemblée des Délégué.e.s de l’année, à laquelle de nombreuses associations membres étaient présentes. Cette assemblée conviviale a été l’occasion de bien commencer l’année en discutant ensemble des projets à venir, telles que les activités du Groupe de Travail sur les Espaces ou sur le Genre.

La semaine suivante, a eu lieu l’Assemblée Générale du semestre d’automne qui a notamment élu le nouveau comité de l’année 2018-2019, validé les comptabilités et les rapports d’activités, admis de nouvelles associations au sein de la CUAE ou encore validé une motion sur l’accessibilité aux études et la loi sur la laïcité votée au printemps au Grand Conseil.

Au cours du mois a également eu lieu une conférence sur l’impunité des multinationales, co-organisée avec de nombreuses associations et collectifs dans le cadre de la semaine de mobilisation pour un traité contraignant sur les activités des multinationales.

Par ailleurs, la CUAE a été auditionnée par la Commission de l’Enseignement Supérieur du Grand Conseil, au sujet du rapport d’activités de l’Université de 2017-2018. Nous y avons apporté nos réflexions et critiques, puis répondu aux questions des député.e.s.

Finalement, les groupes de travail (genre, espaces) se sont réunis plusieurs fois et continuent leur travail respectif.

Catégories
Activités Politique universitaire

Assemblée Générale – 17 OCTOBRE 2018

La Conférence Universitaire des Associations d’Etudiant-e-s (CUAE) a le plaisir de vous convier à son Assemblée Générale du semestre d’automne qui aura lieu le:

17 octobre 2018 à 18h15 à Uni-Mail en MR060.

La CUAE représente tou-te-s les étudiant-e-s de l’UNIGE. Elle est également la faîtière des associations étudiantes de l’UNIGE. Afin d’avoir un panorama de nos activités, tu peux consulter notre site internet.

Lors de l’assemblée générale, des questions de politique étudiante et également l’actualité de l’UNIGE seront abordées. Tu trouveras attaché à cet envoi un “canevas explicatif” des différents points qui seront discutés ainsi que la motion qui sera votée lors de notre assemblée.

Cette assemblée générale est aussi l’occasion de se rencontrer entre étudiant-e-s et de partager nos expériences, de prendre position sur des questions d’actualité universitaire.

L’assemblée sera suivie d’un apéritif afin de nous rencontrer dans un cadre convivial.

L’ordre du jour est le suivant:

  1. Approbation du PV du 21 mars 2018
  2. Communications
  3. Rapports d’activités
  4. Présentation et validation des comptabilités
  5. Collectif Datcha
    – Validation de la compta
    – Élection du collectif
  6. Élection du comité
  7. Élection des vérificatrices aux comptes
  8. Loi sur la laïcité : motion sur l’accessibilité des études
  9. Espaces
  10. Genre
  11. Adhésion de nouvelles associations étudiantes
  12. Divers

 

 

Catégories
Activités Résumé du mois

Résumé du mois de septembre 2018

Le mois de septembre est, comme chaque année, un mois chargé pour la CUAE !

Avant même la rentrée, la CUAE a été dans les starting blocks pour organiser la journée des associations des Welcome Days qui a eu lieu le 14 septembre. L’organisation de cette journée s’est faite en collaboration avec différentes associations au sein d’un comité de pilotage. Pendant toute la journée, une grande majorité des associations estudiantines de l’Université étaient présentes dans le parc des Bastions pour informer et rencontrer les nouvelles étudiantes. Plusieurs activités ont été organisées, comme une super fête foraine, une bouffe pop à midi, un rallye inter-associatif ou encore des tours à vélo pour découvrir Genève.

Dès le lundi de la rentrée et ce durant 10 jours, la CUAE a tenu des stands d’information dans les bâtiments d’Uni-Mail, au CMU, à Sciences II et aux Bastions. Ces stands étaient fourni de brochures sur les différentes thématiques sur lesquelles la CUAE travaille, des flyers sur certains événements et séances d’informations à l’UNIGE, et de différentes activités bricolage (pin’s, décoration d’agendas, etc.) pour le côté ludique ! Des membres du comité ainsi que les secrétaires étaient présentes pour répondre à toutes les questions des étudiantes. Plus encore, les stands sont l’occasion de distribuer massivement l’agenda-guide gratuit que la CUAE édite chaque année. Presque 5’000 exemplaires ont été distribués durant cette semaine, au même titre que les plaquettes d’inscription pour que les associations étudiantes puissent toucher 5chf extraits des taxes fixes de chaque membre-étudiante pour leur fonctionnement annuel.

Pendant les quelques premiers jours, la CUAE est également passée dans les séances de rentrée de chaque faculté afin de présenter ses activités et son rôle au sein de l’Université. De même, des présentations ont été faites dans certains cours à grande fréquentation ainsi qu’à l’occasion des Assemblées Générales de plusieurs association de l’Université.

Par ailleurs, comme chaque année, une séance d’information sur les permis de séjour a été organisée, durant laquelle de précieux conseils ont été donnés aux étudiantes en cours de démarche auprès de l’OCPM ou titulaire de permis destinés à la formation. Cette séance a été l’occasion de communiquer la mise en ligne du site www.permis-etudiant.ch.

Aussi, la CUAE s’est rendue aux dernières réunions du réseau Aktion-Education, le réseau national contre la hausse des taxes universitaires qui continue à s’organiser pour thématiser les questions d’accessibilité aux études et d’austérité au sein des universités suisses.

Catégories
Activités Actualités Résumé du mois

Résumé des mois de juin, juillet et août 2018

Le comité de la CUAE a participé au cours du mois de juin à une réunion avec le service des bâtiments afin de faire avancer les demandes de micro-ondes et d’espaces de méditation provenant des étudiantes et associations. Le dossier des micros-ondes touche à sa fin, l’installation de ces derniers étant annoncée pour la rentrée 2018.

Une rencontre a été organisée avec M. Fluckiger, candidat à sa réélection au poste de recteur. Cela a été l’occasion de discuter de son bilan pour les quatre années écoulées à la tête de l’unige et de l’entendre sur les thèmes importants à nos yeux, tels que la lutte contre le sexisme et le harcèlement sexuel à l’université, l’accès aux études des populations précarisées, ou les relations de l’Unige avec le secteur privé, pour ne citer que trois d’entre eux.

Le comité de la CUAE a aussi organisé une semaine de formation afin de préparer au mieux la rentrée et faire le point sur l’année achevée.

La CUAE a aussi rejoint la campage globale pour un traité contraignant sur les firmes transnationales. Des rencontres ont eu lieu afin de préparer une semaine d’action et de plaidoyer en octobre.

L’été a aussi été l’occasion pour le comité de la CUAE de préparer la rentrée universitaire notamment en finalisant l’édition 2018 de son agenda-guide, désormais célebre et de participer très activement à l’organisation du volet associatif des welcome days.

Finalement la CUAE a donné son plein soutien à l’occupation du bâtiement Porteous à Aïre par le mouvement prenons la ville.

Catégories
Activités Actualités Résumé du mois

Résumé du mois de mai 2018

Au cours du mois de mai, le comité a été très actif dans le comité de soutien aux trois de Briançon. Ces dernières ont été accusées de délit de solidarité suite à une manifestation dans les Alpes franco-italiennes. La criminalisation de la migration et de la solidarité avec les personnes en situation d’exil, a été la principale raison de l’implication de la CUAE dans ce comité. Notre travail s’est axé principalement autour des relations à la presse et aux politiciennes.

Une conférence de Danièle Linhart, une sociologue du travail, a été organisée sur le thème des mutations actuelles du salariat. De nombreuses étudiantes étaient présentes.

Un communiqué de soutien aux étudiantes en lutte contre la sélection à l’entrée dans les universités françaises, ce dernier rappelle la nécessité et l’urgence de lutter pour l’accès aux études, de même que la nécessaire convergence des luttes dans le contexte social et politique français, marqué par les attaques néolibérales de M. Macron.

Un comitard s’est rendu à Rome pour participer à une table ronde dans le cadre du Collision Fest, un festival culturel et politique organisé par différentes organisations militantes italiennes.

La CUAE s’est rendue à la réunion de la plateforme Akeduc, afin de participer à la planification des prochaines actions contre l’élitisation des études en Suisse.

Enfin au mois de mai, la comission de nomination a terminé son travail et a nommé Gahla au poste de secrétaire permanente en remplacement de Romain qui quittera son poste au mois de juin 2018.