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Ateliers de français de la CUAE

Le groupe de travail «cours de français» de la CUAE reprend vie !
Des étudiant-e-s bénévoles proposent des ateliers de pratique de la langue française orale et écrite.

Ces ateliers sont gratuits, sans inscription et ouverts à tou-te-s, pour tous les niveaux. Ils ont lieu tous les mardis et jeudis soir à 18h15.

Cet été les ateliers sont maintenus (sauf avis contraire) et auront lieu en MR160. 

Nous organisons également différentes activités et excursions (projection de films, balades, activités culturelles, …) quelques fois dans l’année.

N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions, l’envie d’y contribuer (en tant que bénévole) ou passer tout simplement un soir aux ateliers pour y participer.

 

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Colloque interdisciplinaire "ECHANGE ACADEMIQUE" du 20 au 24 juin

Du 20 au 24 juin aura lieu le colloque interdisciplinaire “ÉCHANGE ACADÉMIQUE” réunissant des  doctorant-e-s  évoluant dans un contexte académique actuellement très particulier : celui de la Turquie.

Ils/elles nous parleront de leurs recherches qui portent entre autres sur la question kurde,  sur des alternatives économiques ou encore sur les droits humains.

Le vendredi 24 juin, le colloque se terminera sur une conférence plénière lors de laquelle la question de la liberté académique dans les universités turques sera abordée.

Toutes les séances débuteront à 18h15, auront lieu à Uni Mail en MR070 et seront suivies d’un apéro.

De plus, un café-scientifique aura lieu jeudi à 13h15 dans la même salle. Venez prendre un café en assistant à la présentation « Fundamentals of Nanoscience ». Ce sera l’occasion pour les personnes issues d’autres disciplines d’être introduites aux enjeux et applications de cette science.

L’entrée est libre, sans inscription et ouverte à tou-te-s.

Cet échange académique est organisé conjointement par l’Association Commune du Corps des Collaborateurs et Collaboratrices de l’Enseignement et de la Recherche (ACCORDER), la Conférence Universitaire des Associations d’Etudiant-e-s ainsi que par des associations d’étudiant-e-s (AESPRI, AEHES, AS&D, MEG). L’événement est soutenu par la Faculté des Sciences de la Société.
Evenement FB : https://www.facebook.com/events/619161254917742/

Colloque interdisciplinaire du 20 au 24 juin - Lundi
Colloque interdisciplinaire du 20 au 24 juin - Mardi
Colloque interdisciplinaire du 20 au 24 juin - Mercredi
Colloque interdisciplinaire du 20 au 24 juin - Jeudi
Colloque interdisciplinaire du 20 au 24 juin - Vendredi
Colloque interdisciplinaire du 20 au 24 juin - Fundamentals of nanoscience

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Communiqué de presse – IUFE (Institut Universitaire de Formation des Enseignants)

Institut Universitaire de Formation des Enseignants :

Un système arbitraire en chasse un autre !

 

L’Institut universitaire de formation des enseignants (IUFE) a fermé les portes de sa première année de formation pour l’enseignement secondaire (Forensec) lors de la rentrée de septembre 2015.

 

Au vu de la conjoncture politique actuelle : des coupes budgétaires à l’Etat, l’augmentation du nombre d’heures d’enseignement et la diminution du personnel, une réouverture pour la rentrée 2016 n’était pas acquise. Elle s’est décidée lundi soir lors d’un sommet entre les différents partenaires de cette formation. Malheureusement, cette ouverture en première année ne vaut pas pour toutes les disciplines. Les heureuses se nomment « Français, Physique, Mathématiques, Allemand et Anglais ».

Malgré un plan sur quelques années, « il est intolérable de différencier les disciplines, cela risque très fortement de provoquer l’abandon de certaines fillières, spécialement en Lettres » s’inquiète Vincent Chazaud, étudiant en Lettres et élu à l’Assemblée de l’université. Outre une ouverture restreinte en terme de disciplines, le nombre de futurs étudiants  sera aussi diminué, les places (comptée sur les doigts d’une main) en français vont être disputées entre deux, voire trois volées d’étudiants de master. « Une concurence inique entre étudiants va se mettre en place, accentuée par la perspective d’être coupé de toute possibilité d’enseigner » commente Galileo Monnet-Martin, secrétaire de la CUAE.

 

« Les pratiques à l’IUFE étaient arbitraires ; les classements octroyant les places de stages pouvaient changer en cours d’élaboration à cause de critères totalement absurdes et/ou arbitraires » dénonce Galileo Monnet-Martin. Selon la nouvelle mouture, le directeur d’établissement aura tout pouvoir pour décider qui pourra accéder à une formation universitaire. « L’ingérence d’un employeur – les directeurs d’établissement du secondaire – dans l’accès à une formation universitaire est dangereuse pour le futur de la liberté académique » continue le secrétaire permanent. Ce nouveau système donnera tout pouvoir à une seule personne, « on peut d’ores et déjà s’attendre à de gros problèmes de discriminations » car une seule personne jugera de notre capacité à enseigner. La CUAE dénonce ce nouveau projet qui ne fait que remplacer l’arbitraire de certaines personnes à l’IUFE par l’arbitraire de certains directeurs d’établissement.

 

Enfin, si l’on suit la logique des décideurs selon laquelle on ne souhaite pas former des chômeurs, doit-on s’attendre à ce qu’UBS et consorts décident à l’avenir du nombre de places à attribuer dans certaines filières de la faculté d’économie et de management ? « C’est la boîte de Pandore du numérus clausus décidé par une entité extérieure à l‘université que la conseillère d’Etat ouvre ! » C’est la porte ouverte à toutes les dérives de la marchandisation des études.

 

Face à ces attaques contre la liberté académique et face aux coupes budgétaires qui influencent ce type de décision, la CUAE se mobilise et invite tous les étudiants, actuels et futurs qui souhaitent enseigner à la rejoindre !

 

                                                           

 

Contact : Galileo Monnet-Martin, secrétaire permanent 022 379 87 97iufe

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Activités Actualités Politique universitaire

Bloquons la hausse des taxes! Stoppons la baisse des salaires! Défendons les droits démocratiques!

La CUAE exprime son soutien avec les étudiant-e-s en lutte à l’EPFL. Ci-joint un appel à la manifestation contre la hausse des taxes d’études soutenue par la CUAE, SUD étudiant-e-s et précair-e-s et la Kripo de Zurich.

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Bloquons la hausse des taxes!
Stoppons la baisse des salaires!
Défendons les droits démocratiques!

Rassemblement mercredi 16.03.16 à 12h sur l’esplanade de l’EPFL
Une action de solidarité aura lieu à Zürich parallèlement !

Téléchargez le communiqué en PDF

Aujourd’hui aura lieu un moment important de la mobilisation contre la hausse des taxes d’études à l’EPFL. La proposition de doublement des frais d’inscription portée par le président actuel de l’EPFL, Patrick Aebischer, et soutenue de fait par son successeur, Martin Vetterli, doit être combattue de toutes nos forces. Un rassemblement est prévu ce mercredi 16 mars 2016 à Lausanne. À Zürich, une action de solidarité aura également lieu.

Cette proposition sur les taxes d’études doit être replacée dans un contexte général d’offensive contre les conquêtes sociales dans ce pays : attaques sur le service public, attaques sur les assurances sociales, fragilisation des plus démuni-e-s. Cette politique prend appui et est légitimée par des démarches de gestion austéritaire des finances publiques qui sont de véritables opérations de piratage des richesses en direction des grandes entreprises et des grands actionnaires. Il faut faire cesser la machinerie politique et gouvernementale qui prétend, sous couvert fallacieux de « créer des emplois », qu’il n’y a pas d’argent pour le service public tout en faisant des cadeaux aux grandes entreprises privées.

Ainsi le programme d’austérité du Conseil fédéral estimé à 3 milliards de francs « d’économies » pour les prochaines années vient frapper de plein fouet le budget alloué à la formation et à la recherche. Pourtant, le mercredi 17 février 2016, le gouvernement suisse boucle les comptes en annonçant un surplus de 2.3 milliards. Donc, de l’argent, il y en a. Le maintien de ce programme d’austérité par le Conseil fédéral correspond à une anticipation de la troisième réforme de la fiscalité des entreprises (RIE III). L’argent qu’on veut venir prendre dans nos poches sera « redistribué », par les futurs cadeaux fiscaux, aux grands actionnaires! Ces « Robin des lois » réinterprètent et rejouent la légende à leur sauce : voler aux collectivités pour donner aux riches !

Cette augmentation des taxes d’études ne correspond pas « juste » au prix d’un café par jour comme le prétend cyniquement M. Vetterli. Un « café par jour » c’est 100 CHF par mois de moins dans le budget. Un « café par jour » ça équivaut à mettre l’assiette à 16.- au lieu de 8.- aux cafétérias de l’EPFL pour une personne qui s’y rend chaque midi pendant les périodes de cours. Un « café par jour » c’est aussi un bout de notre vie qui change : devoir augmenter notre temps salarié au détriment des études, ponctionner encore plus sur le salaire de nos parents, peut-être s’endetter voire abandonner.

Il faut refuser de placer le débat sur un plan quantitatif où il s’agirait de mettre en correspondance des prestations proposées et leur « coût réel ». Cette idéologie qui consiste à vouloir faire payer le coût exact des prestations publiques aux usagers, proposition que l’on retrouve dans d’autres secteurs, n’est rien de moins que la liquidation du principe de service public. Les étudiant-e-s ne sont pas des client-e-s d’un supermarché du savoir.

Il ne s’agit pas de débattre simplement sur le montant des taxes : 500, 1’000, 2’000, ou 10’000 francs. Il s’agit d’une lutte sur un principe fondamental : nous défendons un service public de l’éducation orienté vers le bien commun. Nous défendons la démocratisation des études et le refus d’une sélection féroce qui exclut de fait les classes populaires des études supérieures. Nous refusons cette conception asservissante des études, portée notamment par les centres de pouvoirs européens, qui y voient une démarche individuelle d’investissement dans un « capital humain ». Au contraire, nous défendons le principe de la gratuité et d’une université démocratique, critique et émancipatrice.

La hausse des taxes frappe aujourd’hui les étudiant-e-s de l’EPFL. Hier, c’était les étudiant-e-s des HES genevoises. Demain, peut-être ailleurs. La bataille qui démarre à l’EPFL a une portée exemplaire. Une victoire de la direction donnerait des ailes à toutes les directions d’université et de HES pour mener une politique d’augmentation des taxes d’études dans tout le pays. Cette lutte concerne donc toutes et tous les étudiant-e-s de ce pays. Il ne s’agit pas d’une affaire « interne » à l’EPFL.

SUD Étudiant-e-s et Précaires (Vaud, Valais, Neuchâtel), la CUAE (Genève) et la Kripo (Zürich) appellent tous et toutes les étudiant-e-s à se mobiliser et à rejoindre les rassemblements prévus. Nous appelons également à mener des actions de solidarité dans tous les établissements et à élargir la lutte. C’est par la construction d’un rapport de force avec la direction de l’EPFL et les autorités fédérales que nous pourrons gagner cette bataille. Nous réaffirmons également notre volonté de construire un mouvement unitaire avec toutes les organisations prêtes à travailler ensemble, selon leurs capacités et leur culture associative propre, pour contrer ce chantage budgétaire.

A l’EPFL, le rassemblement sera l’occasion également de lutter contre la décision de la direction de baisser les annuités de Fr. 1000.- de moins pour les doctorant-e-s et Fr. 1’500.- pour les postdocs. Étant donné qu’il s’agit de périodes qui couvrent plusieurs années pour les formations doctorales et de longues périodes également pour les postdocs, le manque à gagner est significatif : des milliers de francs. Nous appelons à résister à la baisse des salaires et à la précarité du travail qui accompagne les activités d’assistanat et d’emploi postdoctoral et nous réaffirmons le principe de : « À travail égal, salaire égal », c’est-à-dire la revendication que toute activité salariée soit payée à la valeur pleine des qualifications et des savoirs qu’elle mobilise.

Enfin, ces rassemblements seront l’occasion de rappeler la bataille essentielle que nous menons pour la défense et l’extension des droits et des libertés démocratiques au sein des établissements. Les agissements de la direction de l’EPFL pour empêcher la tenue d’une assemblée, les ordres donnés pour interdire ce rassemblement, la volonté de faire taire toute voix dissidente sont proprement inacceptables. Il faut défendre sans concession la pluralité et les libertés démocratiques. Non à la politique du bâillon !

Lausanne, Genève, Zürich, le 16 mars 2016

SUD-EP, CUAE, Kripo

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Solidarité avec les écolières et les étudiantes en lutte à Zurich

ENSEMBLE PARTOUT CONTRE LES COUPES BUDGÉTAIRES!

49 millions de francs en moins dans l’éducation déjà annoncés et un « programme de stabilisation » pour 2017-2019 qui prévoit, par la suite, de réduire de 550 millions de francs le budget pour l’enseignement et la recherche en discussion au Grand Conseil… pas étonnant que les étudiantes et les écolières zurichoises prennent la rue ce mercredi (13 Janvier 2016).

C’est une Journée de l’éducation – portes ouvertes dans les écoles et débats sur le futur de l’éducation au programme – que proposent les responsables des institutions zurichoises pour montrer leur désaccord face aux coupes budgétaires. Leur discours est principalement axé sur le postulat que l’éducation est un investissement et qu’il faut dès lors le protéger afin de préserver une certaine attractivité de la région.

Pour renforcer et diversifier l’opposition à ces coupes budgétaires, la coordination Kämpfen für Bildung [trad. en français : « Lutter pour l’éducation »,  web : kaempfenfuerbildung.wordpress.com ] appelle à prendre la rue à la fin du programme officiel. Cette coordination est composée d’écolières, d’étudiantes et de doctorantes. Dans leur discours, elles affirment que les personnes en formation ne doivent pas être perçue comme de « potentiels investissements » et soulignent la nécessité de contrer les mesures imposées par le haut au moyen d’une lutte partant de la base. De plus, elles soumettent une analyse sur les coupes budgétaires dans un contexte plus large.

Sur les réseaux sociaux, réunies sous le titre « Pour une Journée de l’éducation de lutte ! », presque 700 personnes avaient déjà annoncé prendre part à la manifestation.

Il est déplorable que les organisateurs officiels de la Journée de l’éducation se soient alors distanciés de la coordination Kämpfen für Bildung, allant jusqu’à annuler le rassemblement prévu dans le centre-ville qui devait précéder la manifestation.

Sans que les organisatrices n’aient jamais été contactées, les seules raisons à ce changement de programme est que la manifestation n’est « pas autorisée » et que l’appel a été relayé par plusieurs pages des mouvements de gauche zurichois. Dès lors, nombreuses sont les étudiantes et les écolières qui doivent faire face à des intimidations pour les dissuader de participer à l’événement.

Le comité de la CUAE exprime toute sa solidarité envers les écolières et les étudiantes en lutte à Zurich.  Les mesures d’austérité dépassent les confins cantonaux. De telles mesures ne sont pas en discussion seulement à Zurich, c’est le cas notamment à Genève (dans le cadre du projet du budget 2016 toujours en discussion) à Bâle, à Berne, en Argovie… mais aussi dans d’autres pays !

Si 2016 est une année d’austérité, nous ne nous contenterons pas de regarder!

Bon 2016 du comité de la CUAE.

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Pétition sur les espaces

Cher/chère étudiant/e,

Probablement auras-tu remarqué que la vie universitaire est englobante: nous y passons nos journées entières entre les cours, les repas, les séminaires, les séances de travail à la bibliothèque, les cours de sports ou encore les activités proposées par les associations. Seulement, dans ce torrent d’activités qui constituent nos journées, à aucun moment nous ne pouvons prendre cinq minutes pour nous détendre. De plus, il n’existe aucun espace calme pour pouvoir se recueillir, méditer ou encore se reposer dans le silence. Par ailleurs, les associations étudiantes, qui sont le moteur d’une vie universitaire riche et dynamique, ne possèdent pour la plupart aucun bureau où elles peuvent se réunir et stocker leur matériel. Enfin, les lieux gérés par les étudiant-e-s sont saturés! Cet état de fait est alarmant. Ce pourquoi nous demandons également la mise à disposition de nouveaux lieux étudiants, gérés par les étudiant-e-s et pour les étudiant-e-s.

Cette problématique liée à la gestion de l’espace à l’Université a donc suscité l’intérêt de nombreux étudiant-e-s et associations qui se sont réunies dans un groupe de travail pour faire avancer les choses. Ce groupe de travail a fait un travail de fond de recherche des lieux disponibles au sein des différents bâtiments de l’Université. Il a également contacté les associations de vos départements respectifs. Aujourd’hui, il revient vers vous, étudiant-e-s, pour trouver du soutien et de l’appui à une pétition qu’il a rédigée (Pétition pour plus d’espaces).

Pour que l’Université s’engage à développer des espaces pour les étudiant-e-s et associations, il est important que nous, étudiant-e-s, fassions entendre notre voix unie!

Nous vous invitons ainsi à signer la Pétition pour plus d’espaces et à en parler autour de vous. Nous tiendrons des stands le mardi 8 décembre et mercredi 9 décembre entre 12 et 14h dans les bâtiments de Sciences II, des Bastions et d’Uni Mail afin que vous puissiez venir signer la pétition (si ce n’a pas encore été fait), venir nous rencontrer et parler de cette thématique et/ou nous déposer les pétitions signées.

Nous restons à votre disposition pour toute question et vous prions de bien vouloir nous retourner toutes les pétitions signées d’ici le 16 décembre! Des urnes se trouvent à côté des loges d’accueil de chaque bâtiment pour que vous puissiez les déposer. Vous pouvez également les retourner à la CUAE dont les locaux se trouvent au 102 boulevard Carl-Vogt. L’entrée se trouve à droite du bâtiment d’Uni Mail. Un casier dans la salle des associations a été dédié à la récolte de ces pétitions.

Pour plus d’espaces pour les étudiant-e-s et gérés par les étudiant-e-s, unissons-nous!

Le groupe de travail “espaces”

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Projection du documentaire "Ayotzinapa" – 3ème volet du cycle de conférences "Savoirs en lutte"

tte - Cycle de conférences

La CUAE, dans le cadre de son cycle de conférences “Savoirs en lutte”, et en collaboration avec l’ALMA et Amnesty unige, vous invite à la projection du documentaire “Ayotzinapa, chronique d’un crime d’état”. Un reportage édifiant retraçant les faits et décrivant la situation du Mexique dans son ensemble. Rendez-vous le mercredi 2 décembre prochain à 18h15 en MR070. Nous aurons également le plaisir d’entendre le discours d’un intervenant, Ben Leather, qui a travaillé pour Peace Brigades International au Mexique.
La projection sera suivie d’un apéro mexicain
Le film sera en version originale (espagnol) sous-titré en français.

Le film : Documentaire mexicain réalisé par Xavier Robles (2015). Le 26 septembre 2014 à Iguala, dans l’État de Guerrero au Mexique, 43 étudiants issus de l’école normale rurale d’Ayotzinapa sont séquestrés par la police avec la complicité de l’armée. Aujourd’hui encore, aucune avancée concrète n’a été réalisée. Ce documentaire met en évidence la complicité criminelle existante entre les autorités policières et militaires ainsi qu’entre l’élite politique et économique du Mexique, forces indistinctes qui répondent aux mêmes intérêts. Les voix des interviewés, dont celles de deux étudiants ayant survécu au massacre d’Iguala, reconstruisent le climat d’impunité, corruption et criminalité qui existe non seulement au Guerrero mais dans tout le pays.

Trailer : https://www.youtube.com/watch?v=8Qli9Z38Cr8

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Cycle de conférences "Savoirs en lutte"

La CUAE pour cette rentrée 2015, vous propose un cycle de conférences sur les luttes étudiantes internationales. A cette fin, nous avons organisé un cycle de trois conférences autour du savoir en lutte.

Savoirs en lutte - Cycle de conférences

La première de ces conférence a lieu jeudi 22 à 18h15 en MR070.

Les informations et affiches pour les conférences qui suivent vont être publiées sous peu.

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Conférence de Mariangélica Gutiérrez

Conférence de Mariangélica Gutiérrez

Dans le cadre de son cycle de conférence “Savoirs en lutte”, la CUAE présente une conférence de Mariangélica Gutiérrez, militante étudiante colombienne : le mouvement étudiant dans le processus de paix en Colombie.

Cette conférence est une bonne occasion de connaître les principales luttes des jeunes femmes, les avancées et les reculs dans l’articulation politique du mouvement étudiant et des organisations féministes en Colombie. L’intervenante parlera aussi du rôle du mouvement social dans la construction de la paix.

Dans le pays, les négociations de paix entre l’État et les insurgés des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) et de l’ELN (Armée de Libération Nationale) avancent. Mais le pouvoir colombien tarde à modifier son attitude et le mouvement social peine à promouvoir les changements nécessaires pour que le pays puisse surmonter la violence structurelle. Ces derniers mois, les détentions, les menaces et les assassinats ont continué.

Un fait particulièrement significatif est la détention de jeunes féministes et de portes-paroles étudiant-e-s. Bien que ces personnes aient été libérées, la procédure judiciaire à leur encontre continue. Afin de montrer ce qui se ce passe en Colombie, Mariangélica Gutiérrez effectue du 20 octobre au 24 novembre une tournée d’information en Suisse, puis en Europe.

Mariangélica est une jeune féministe, sociologue à l’Université Nationale de Colombie, active dans les mouvements étudiants depuis environ 6 ans. Elle fait partie de l’organisation TEJUNTAS et a une expérience d’éducatrice dans les quartiers populaires de Bogota. Comme porte-parole et animatrice de différentes organisations de jeunes au Tejino Nacional, elle participe activement à la défense des droits des jeunes. Elle a joué un rôle important dans la réalisation d’activités comme les 5 dernières éditions du « Ladyfest » (festival de culture féministe) et les différentes éditions du « Tripido Fest » (Festival de culture urbaine).

Un apéro suivra la présentation! 🙂
Photo : Medellin, 10.11.2011

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La CUAE est sur facebook

La CUAE est sur Facebook

Qui l’eut cru, la CUAE un jour sur facebook ? Et bien oui, les moyens de communications changent, les moyens d’atteindre les étudiantes également.

Désormais la CUAE possède une page facebook qu’elle vous invite à “liker”: https://www.facebook.com/CUAE.GE

Bien évidemment la page facebook va servir à relayer les activités proposées par la CUAE et les informations postées sur le site. Elle se veut uniquement un moyen de diffuser plus largement les différents événements organisés au sein de l’université. La page est donc un outil de communication mais en aucun cas un référent pour prendre contact avec le comité de la CUAE ou les secrétaires. Pour communiquer avec la CUAE, ce sont toujours le téléphone, l’email et le passage aux permanences qui restent de mise.

Nous espérons que cette page soit utiles aux étudiantes et associations et vous invitons, encore une fois, à nous suivre pour être tenus au courant de notre actualité !